décèdent d'un cancer en France, soit 20 classes d'écoles. Ce chiffre ne recule quasiment plus depuis 20 ans. Sur les dernières décennies, seuls les cancers pédiatriques répondant aux « traitements pour adultes » ont vu leur chance de guérison s’améliorer.
des enfants par maladie. Les leucémies, les tumeurs cérébrales et les sarcomes prédominent nettement.
Pour plusieurs cancers pédiatriques, notamment les tumeurs du tronc cérébral, les traitements se résument souvent à des soins palliatifs.
Le nombre de cancers de l'enfant augmenterait de 1 à 3% chaque année, selon plusieurs études européennes. Un enfant sur 400 sera touché par un cancer avant sa majorité.
à la recherche sur les cancers pédiatriques, par le biais de l'INCa. C'est pourquoi nous souhaitons qu'une loi garantissant un fonds public dédié à recherche sur les cancers de l'enfant d'un montant de 15 - 20 millions d'euros/an (en plus des moyens existants) soit votée.
La recherche industrielle est essentiellement axée sur les cancers des adultes, pour des raisons de rentabilité. Or, les tumeurs malignes détectées chez les enfants sont souvent différentes de celles des adultes et ne peuvent se soigner de la même manière.
est très faible pour les enfants atteints de cancers. Pourtant, la prévention permet, chez l’adulte, de réduire fortement le nombre de cancers. Diminuer le nombre d'enfants diagnostiqués est essentiel.
sont classés « cancérogènes probables » voire « cancérogènes certains », mais restent en vente libre. On peut les trouver en quantités importantes dans l'environnement ou l'alimentation de l'enfant.
Une femme qui perd son mari est une veuve ; un homme qui perd sa femme est un veuf ; un enfant qui perd ses parents est un orphelin ; aucun mot n'existe pour un parent qui perd son enfant.