Le mercredi 16 mai, le député de la Gironde Benoît Simian a organisé, avec la Fédération Grandir Sans Cancer, dont l'association Eva pour la vie est co-fondatrice, un colloque portant sur la lutte contre les cancers et maladies incurables pédiatriques. Une première à l'Assemblée Nationale.
Parce qu'il faut soigner plus d'enfants, mais qu'une vraie politique de prévention doit AUSSI être mise en place, Eva pour la vie a décidé de financer l'étude HAPPI, visant à rechercher des pesticides dans les poussières de chambres d'enfants, d'écoles. De lieux de vies entretenus où nos enfants devraient se sentir en sécurité.
Ce 15 février, à l'attention de la journée internationale des cancers de l'enfant, très beau reportage d'Arte sur les cancers pédiatriques. Et sur la fédération Grandir sans cancer, dont Eva pour la vie est co-fondatrice. La générosité publique est aujourd'hui le principal mode de soutien de la recherche sur les cancers pédiatriques. C'est insuffisant lorsque l'on sait que l'État français a les moyens d'agir, pour les enfants, pour les familles
Voir sur le reportage : https://www.arte.tv/fr/videos/081257-000-A/france-les-cancers-pediatriques-a-la-traine/
Poursuivant son travail d’information des pouvoirs publics nouvellement à la tête du pays, la Fédération Grandir sans cancer - dont Eva pour la vie est co-fondatrice - a été reçue vendredi 2 Février à Matignon par le conseiller technique à la santé du premier ministre, M. Guillaume Couillard pour évoquer la roblématique de la lutte contre les cancers de l'enfant ...
Eva pour la vie soutient - avec votre aide - la recherche sur les cancers de l'enfant, mais pas seulement. Qu'un enfant soit atteint d'un cancer, d'une leucémie ou d'une autre maladie grave, le constat est le même : il faut trouver des solutions, pour la recherche, pour aider les familles, sans opposer un enfant à un autre.
Ce lundi 11 décembre, le Centre international de recherche sur le cancer de Lyon accueillait, sous l'impulsion des Drs Marie Castet & Christophe Bergeron ainsi que de leur équipe, le 1er colloque sur la recherche fondamentale en oncologie pédiatrique. De nombreux chercheurs et associations, dont l'association Eva pour la vie, étaient présents. 3 décideurs politiques - dont l'ancienne députée Martine Faure - étaient également parties prenantes.
Le vendredi 17 novembre, un chèque d’un montant de 29 463 euros a été remis à l’Inserm de Bordeaux – pour soutenir les travaux de recherche de Caroline Capdevieille – par Michel Baylet, Président de Groupama Centre-Atlantique, et Sophie Dancygier – Déléguée générale de la Fondation Groupama pour la santé. Étaient également présent pour cette remise de chèque Christophe Grosset – Directeur de Recherche et Martin HAGEDORN enseignante chercheur de l’INSERM de Bordeaux, ainsi que Stéphane Védrenne, co-fondateur de l’Association Éva pour la Vie, partenaire de cette collaboration.
MERCI au sénateur de la Vienne Alain Fouché, qui interrogeait cet AM Mme Buzyn, ministre de la santé, sur le faible financement de la recherche en oncologie pédiatrique. Le désengagement de l'Etat français en la matière sur ces 20 dernières années est visible aujourd'hui avec l'histoire du petit Robin, évoquée par le sénateur, et de bien d'autres enfants, pris en charge ou non par la sécurité sociale : faudra-t-il envoyer nos enfants - atteints de cancers les plus difficiles - à l'étranger pour qu'ils se aient une chance de guérir ?
Les représentants de l’association Eva Pour la Vie et de l’Association Cassandra, accompagnés du Docteur Marie CASTETS, chercheuse au Centre de Recherche en Cancérologie de Lyon, avaient rendez-vous au Ministère de la Recherche avec Isabelle RICHARD, conseillère santé au cabinet de la ministre.
L'amendement proposé par le député de la Gironde Benoit Simian - que nous remercions pour son implication sans faille - visant à flécher 20 millions d'euros/an au financement de la recherche sur les cancers & leucémies pédiatriques (via la taxe Chirac sur les billets d'avion, qui existe déjà et n'aurait donc pas généré d'impôt nouveau) a été discuté dans la nuit du samedi au dimanche - vers 2h du matin - à l'Assemblée Nationale.